Vous êtes président !

Imaginons que vous soyez élu (e) président(e)


Quelles seraient vos premières réformes?

1 / Je commençe à changer la déco de l'élysée....quel horreur
2 / Je prend la liste de tous les gens engagés à l'élysée, j'épluche, je vois si leur emploi est utile, necessaire, et je remets à jour les priorités.
3 / Donc emplois fictifs ou inutiles éliminés, ainsi que voitures de fonction à gogo.

A suivre...

Si on me nommait président, Je me sauverais en douce et laisserais la place à d'autres.

D'abord, je suis trop vieux ... Si on admet un âge pour la retraite, passé cet âge on ne prend plus de responsabilités !

Mon jardin, jouer à " l'abélisme" , ma copine, ma famille ... suffisent à extérioriser mes énergies.

Abac, le sujet n'est pas : avez-vous envie d'être président ?

Il fait juste appel à l'imaginaire afin de parler des réformes qu'on mettrait en place .



C'est un jeu...toi, qui aime les jeux

D'ailleurs l'âge fait aussi parti de mes réformes.

4/Moi, je dirais 50 ans maxi, pas plus, pour accéder au pouvoir et pouvoir postuler...je parle aussi des élus, pas que du président.



A suivre.....

Soyons fous,
Etatisation de toutes les institutions financières, puis fusion avec la banque nationale.
suppression de la bourse.
suppression de la notion de taux d'intéret banquaire.
Voilà pour le fléau de notre temps.

Ensuite,
parte qui veut.

Ensuite,
Evaluation des resources disponibles,
Evaluation des resources nécessaires (vitales, agréables, futiles)

Mise en place d'un organe public de gestion des resources.
Mise en place d'un organe public de gestion des compétences (avec système d'évaluation permanente).

Répartition des postes en fonction des compétences.
...

Bref, un reve en ergastule ...

Eric,

je te nommerai président à ma place si j'étais président, tes réformes me plaisent beaucoup.

Moi président je serais trop impatient et j'ai trop l'idée qu'on ne sert pas le peuple sans lui donner des coups de pieds au cul ( Ne le répétez pas ! )

Je me contenterai donc de porter la devise : "Amour, Bien être, lucidité "en souhaitant que cettre formule soit à la fois une fin et un moyen.

Sur la fin, tout le monde ne peut qu'être d'accord

Pour les moyens, cela dépend si on est de ceux donnent les directives ou si on est contraint de les appliquer.

abac a écrit:Eric,

je te nommerai président à ma place si j'étais président, tes réformes me plaisent beaucoup.

Je serai(s) pour un collège de présidents, coordonnés par un expert en négociation et gestion de conflicts.

abac a écrit:Pour les moyens, cela dépend si on est de ceux donnent les directives ou si on est contraint de les appliquer.

N'oublions pas les "conseilleurs" ...
Eux ne "risquent" rien.

Les conseillers ne servent à rien, ce sont des empois inutiles et fictifs pour la plupart. 58 à L'élysée durant l'ère Chirac et le double pour Sarko.

J'éliminerais tous ces icompétents et garderais les meilleurs. 10 maxi voir moins.

A suivre...

Eric écrit :

N'oublions pas les "conseilleurs" ...
Eux ne "risquent" rien.

Conseillers, conseilleurs ne risquent-ils rien ?

Le président est le responsable, mais il a droit à des conseillers experts, s'il y a erreur ce devrait être les conseillers les coupables.

La fonction de président est de trancher pour lancer la décision, mais comment peut-il décider alors qu'il est impossible d'être compétent en tout.

Seulement , je me pose la question : les conseillers sont-ils là pour compétences techniques ou pour " faire respecter une idéologie".

Si un conseiller vaut pour la droite comme pour la gauche, on peut penser qu'il est là pour ses compétencs techniques, sinon il est là pour guider vers des principes ou des intérêts de castes.

Dans un cas comme dans l'autre, les conseillers risquent de se voir reprocher leur incompétence à voir les problèmes techniques ou leur incompétence à manipuler le président.

Un président omniscient, c'est impossible, il lui faut de l'aide, mais pour gérer le pays et non les intérêts d'une coterie.

Si j'étais président,
L'altruisme serait une condition sine qua non pour entrer dans mon équipe d'équipiers compétents.

eric a écrit:Si j'étais président,
L'altruisme serait une condition sine qua non pour entrer dans mon équipe d'équipiers compétents.

Moi ce serait plutôt la capacité à innover, l'esprit critique, l'esprit d'intiative , l'intégrité et la tansparence....j'aimerais des collaborateurs dynamiques en qui je pourra avoiir toute confiance.

Un président omniscient, c'est impossible, il lui faut de l'aide, mais pour gérer le pays et non les intérêts d'une coterie

C'est pour ça que je ne pourrais jamais être présidente... me mèlant trop de tout, j'aurais du mal à déléguer, car je fais rarement confiance...rien ne m'échaperrait , j'aurais un oeil tout ...et serais impatiente si ça ne va pas à mon rythme...
....mais j'aime comuniquer, donc pas fermée non plus.

Bon, continuons à jouer...c'est marrant....

J'ai encore plein de réformes sous le coude...
A suivre...

Dans "mon utopie habituelle" on n'évoque pas les prisons...

Mais dans ce monde-ci il faudrait des réformes :

Prison = réducation, travail et études.

On gagne sa vie : travaux d'utilité générale, percement de grottes pour installer " rêve en ergastule ( il y a sûrement moins idiot )

Payé au Rendement...et avec ça on mange, on s'habille, on se distrait.

Etudes: les résultat donne des points pour sortir

Vie commune : les règles de bonne vie sont gérées par les détenus qui mettent des points de bonne ou mauvaise conduite ( par votes réguliers, fréquents, à bulletin secret). Trop de mauvais points, conduit à passer en un lieu plus pénible, plus de points à vie plus libre ( mais fermée) par exemple hommes et femmes mélées...Mais contraception obligatoire.

Un certain nombre de points positifs : travail, études, bonne conduite, font une libération sans condition de durée de peine ( sauf malades mentaux qui seront soumis à des soins appropriés , libres ou non)

A perfectionner

En quoi le fait de faire des études, et avoir des points rendrait le prisonnier plus humain en le faisant sortir plus tôt ?

La cuture n'est pas le sésame ouvre toi, de tous les malheurs du monde.

Un psychopate pervers peut être à la base un homme très cultivé.

Tous les prisonniers ne sont pas de gros ignares primaires et impulsifs.

Loli a écrit:En quoi le fait de faire des études, et avoir des points rendrait le prisonnier plus humain en le faisant sortir plus tôt ?

La cuture n'est pas le sésame ouvre toi, de tous les malheurs du monde.

Un psychopate pervers peut être à la base un homme très cultivé.

Tous les prisonniers ne sont pas de gros ignares primaires et impulsifs.

La culture, dans le sens de la connaissance, peut-elle rendre l'homme plus "humain" dans le sens du respect de l'autre et de la communication. Pour moi la réponse est non, car dans ce sens, la culture ne saurait gommer nos conflits internes

la phrase ( à discuter) était :

Un certain nombre de points positifs : travail, études, bonne conduite, font une libération sans condition de durée de peine ( sauf malades mentaux qui seront soumis à des soins appropriés , libres ou non)

Je pense qu'un psychopathe est un malade mental, donc non concerné par une libération.

Si la culture n'est pas le " sésame" qui libère des malheurs du monde, l'inculture, l'ignorance, l'absence d'instruction, mettent les individus dans des situations qui les rendent souvent délinquants, d'où l'idée de soigner cet aspect qui les a conduit à la prison.

Bonne conduite, signifie que leur " défaillance et internement" pourrait être due à un manque d'éducation, un mauvais entrainement à la vie sociale, à l'acceptation de la frustration, à une sorter de pauvreté relationnelle.

Un moment de vie, où de bonnes habitudes seraient remises en place, pourrait justifier d'une libération.

Notre système d'emprisonnement ne répare en rien les individus, au contraire.

C'est seulement la survivance de l'idée que la punition rachète la faute, ou que la vengeance calme les victimes, ou qu'on isole pour un temps oles personnes dangereuses. Tout ces bons sentiments que le christianisme place entre le purgatoire, l'enfer n'améliorent en rien ceux que la vie a conduits à la délinquence.

Tous ne sont pas améliorables, peut-être, mais encore faudrait-il agir dans ce sens.

Je ne pense pas que tous les psychopates soient des malades mentaux.La plupart des criminels sont jugés responsables de leurs actes...Même les pires comme ( je ne sais plus son nom)..celui qui a tué 70 personnes de sang froid a été jugé responsable....et pourtant il était instruit et faisait même parti des FM.

Des criminels friqués et instruits qui tuent - ou font tuer par d'autres- par jalousie ou par pur interêt, il y en a aussi à la pelle.

Perso, je pense que c'est plus un manque ou absence d'éducation à la base, qu'un manque d'instruction proprement dit...ainsi que d'autres paramètres complètement inconnus qu'on ne peut comprendre ou analyser.

La stabilité affective durant l'enfance a aussi une grande influençe sur la stabilité et l'équilibre d'un être humain.

Il serait interessant de voir les analyses scientifiques faites à ce sujet concernant le terrain favorable à la délinquance.

Je suis d'accord avec toi lorsque tu dis que notre système est complètement à revoir.

Les grands criminels peuvent tuer par raison (la fin justifiant froidement les moyens), ou par pur sadisme. Un autre instinct primitif s'opposant au ne-fait pas-à-autrui-.... Mais l'homme n'est pas à une auto-contradiction près.

Quoi qu'il en soit, l'éducation ne résolvant pas tout, il serait bien ( rôle du président ou d'autres) qu'on se pose la question d'une rééducation efficace.

Peut être que le Président qui aurait résolu le problème du chômage, du logement, de l'instruction professionnelle ... avancerait vers un monde moins chaotique ???

Pour en revenir aux réformes.

- Je supprime le sénat.

- Cumul des mandats interdits.

-Je restreinds le nombre des députés

-J'instaure de grands référendums pour les grands sujets de société.

A suivre..

fano a écrit:Les grands criminels peuvent tuer par raison (la fin justifiant froidement les moyens), ou par pur sadisme. Un autre instinct primitif s'opposant au ne-fait pas-à-autrui-.... Mais l'homme n'est pas à une auto-contradiction près.

Je pense aussi qu'il existe des êtres naturellement sadiques pour qui le mal est une seconde nature.

Des barbares sans la moindre conscience de culpabilité, et irrécupérables.

Un karma à vivre pour X raisons inconnues...

abac a écrit:Quoi qu'il en soit, l'éducation ne résolvant pas tout, il serait bien ( rôle du président ou d'autres) qu'on se pose la question d'une rééducation efficace.

Peut être que le Président qui aurait résolu le problème du chômage, du logement, de l'instruction professionnelle ... avancerait vers un monde moins chaotique ???

Notre monde étant fondé sur la dualité bien/ mal...il me semble impossible que le mal soit érradiqué par un quelconque gouvernement..Ca n'existera jamais.
C'est le principe même de son fonctionnement.

Moins chaotique dans un monde de plus en plus chaotique, c'est peu probable.
En tout cas , pas dans ce monde ci.

La notion de mal ou de bien est relative à l'époque, au milieu, aux buts auxquels on l'applique.

Néanmoins, malgré la mobilité des valeurs, là où une majorité définit un bien et un mal, elle doit s'appliquer à trouver comment arriver au plus près du résultat escompté.

Eduquer, mettre des barrières , rééduquer ceux qui ont franchi les barrières.

Et comme le monde est en constante évolution, il faut sans cesse réadapter les comportements.

De toute façon la nature oppose les entités pour définir un axe de progrès et de survie. Ceux qui se trompent, confondant ce qui est mal et ce qui est bien pour eux, se trouveront en infériorité, en difficulté de survie...

Ainsi va le monde


.

Ce que je voulais dire c'est que pour que le bien existe , il faut que le mal existe aussi .
L'un n'existe que par rapport à l'autre.

Donc, dans notre monde ici bas le mal existera toujours.

C'est le principe de fonctionnement du monde et ce depuis la nuit des temps.