Poèmes de Willyloge
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Poèmes de Willyloge
willyloge Mar 18 Déc - 12:01
Clair-Obscur
Passer de l’ombre à la lumière,
Dans la plus grande indifférence,
Entre les deux que de mystère.
Ne plus faire la différence,
Et ne connaitre d’autre univers,
Qu’être toujours en partance.
De ma vie je tourne des pages vides,
Qui me tire vers mon enterrement,
Je reste pourtant des plus lucides,
Sans savoir d’où viennent ces tourments,
D’une passion des plus acides,
Me laissant en un grand abattement.
Et traversant cette charmille,
Coloré de cette douce évanescence,
Illuminer par un éclat qui brille,
Mettant en émoi tous mes sens,
Éclairant ma froide pupille,
D’une Flamme qui dance.
Je pars à la recherche,
D’un éternel amour,
Dans une illusion que je pêche.
Un qui me dira toujours,
Flottant sur une onde fraiche,
Celle qui sera ma belle de jour.
D’avance je demande pardon,
A tous ce que je sais être pur,
De ne ressentir qu’un infini frisson,
Sans pour autant en être sûr.
Et de m’en aller à tâtons
Dans cet aurore clair-obscur.
WøLø
15/09/2012
Passer de l’ombre à la lumière,
Dans la plus grande indifférence,
Entre les deux que de mystère.
Ne plus faire la différence,
Et ne connaitre d’autre univers,
Qu’être toujours en partance.
De ma vie je tourne des pages vides,
Qui me tire vers mon enterrement,
Je reste pourtant des plus lucides,
Sans savoir d’où viennent ces tourments,
D’une passion des plus acides,
Me laissant en un grand abattement.
Et traversant cette charmille,
Coloré de cette douce évanescence,
Illuminer par un éclat qui brille,
Mettant en émoi tous mes sens,
Éclairant ma froide pupille,
D’une Flamme qui dance.
Je pars à la recherche,
D’un éternel amour,
Dans une illusion que je pêche.
Un qui me dira toujours,
Flottant sur une onde fraiche,
Celle qui sera ma belle de jour.
D’avance je demande pardon,
A tous ce que je sais être pur,
De ne ressentir qu’un infini frisson,
Sans pour autant en être sûr.
Et de m’en aller à tâtons
Dans cet aurore clair-obscur.
WøLø
15/09/2012
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Re: Poèmes de Willyloge
Loli Mar 18 Déc - 17:36
Très joli poème.
C'est une bonne idée d'avoir ouvert un sujet à la poésie.
C'est une bonne idée d'avoir ouvert un sujet à la poésie.
Loli- Utopiste
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PARENTHESE
willyloge Ven 21 Déc - 15:42
[center]PARENTHESE
De la naissance à la mort,
La vie est une parenthèse.
Nous laissant un gout de remord,
Comme une impression de malaise.
Entre ces deux extrémités,
Qui ne sont pas si opposés.
Chacun y trace sa route,
Avec toujours la peur du doute.
J’y ai laissé mes empreintes,
Sur le chemin de mes aïeux.
Confiant la flamme jamais éteinte,
Comme le bien le plus précieux.
A des générations successives,
Par-delà les siècles qui se suivent.
Du plus humble au plus grand,
Tous laborieux témoins solitaires.
D’un changement des plus flagrants,
D’une légende qui s’inscrit sur terre.
Plein de sueur, de sang et de l’arme,
De ces matériaux vivant trinitaires,
Nous gravons le passé d’un futur qui se présente.
Mais écrasé par un si lourd flambeau,
Nos pas se fait plus hésitant sous le fardeau.
Et nous cherchons une volonté clémente,
Qui nous sauvera des pièges que l’on redoute.
Partons armé de tous nos compagnons,
Alors nous revient la force de continuer la route,
D’une histoire que nous réécrivons,
Simple parenthèse qui est le destin de notre vie.
WøLø
20/12/2012
De la naissance à la mort,
La vie est une parenthèse.
Nous laissant un gout de remord,
Comme une impression de malaise.
Entre ces deux extrémités,
Qui ne sont pas si opposés.
Chacun y trace sa route,
Avec toujours la peur du doute.
J’y ai laissé mes empreintes,
Sur le chemin de mes aïeux.
Confiant la flamme jamais éteinte,
Comme le bien le plus précieux.
A des générations successives,
Par-delà les siècles qui se suivent.
Du plus humble au plus grand,
Tous laborieux témoins solitaires.
D’un changement des plus flagrants,
D’une légende qui s’inscrit sur terre.
Plein de sueur, de sang et de l’arme,
De ces matériaux vivant trinitaires,
Nous gravons le passé d’un futur qui se présente.
Mais écrasé par un si lourd flambeau,
Nos pas se fait plus hésitant sous le fardeau.
Et nous cherchons une volonté clémente,
Qui nous sauvera des pièges que l’on redoute.
Partons armé de tous nos compagnons,
Alors nous revient la force de continuer la route,
D’une histoire que nous réécrivons,
Simple parenthèse qui est le destin de notre vie.
WøLø
20/12/2012
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BONNE ANNEE
willyloge Mar 1 Jan - 19:22
Au fil des saisons
Oyé oyé braves gens
Voici le nouvel an
Ces 12 mois de l’année
Et ces belles journées
Ces nouvelles saisons
Et ces belles fleuraisons
Souhaitant la fin de l’hiver,
Qu’il ne soit trop sévère
La naissance d’un printemps
Aux boutons de fleurs éclatants
Ou l’amour reprend ces droits
Même pour les plus maladroits
Chaleur d’été apprécié
Par tous les vacanciers
Et les nuits qui s’allongent
Pour les amoureux qui songes
Et la rentrée d’automne
Et ces teintes ocre et jaune
Pour tous les écoliers
Qui rentre par millier
Mais avec le froid revenu
Et ces flocons chenus
Le paysage d’hiver
Que la neige a recouvert.
Alors nous recommencerons
Le cycle des saisons
Oyé oyé braves gens
Laissés passer les ans
WøLø
30/12/2012
Oyé oyé braves gens
Voici le nouvel an
Ces 12 mois de l’année
Et ces belles journées
Ces nouvelles saisons
Et ces belles fleuraisons
Souhaitant la fin de l’hiver,
Qu’il ne soit trop sévère
La naissance d’un printemps
Aux boutons de fleurs éclatants
Ou l’amour reprend ces droits
Même pour les plus maladroits
Chaleur d’été apprécié
Par tous les vacanciers
Et les nuits qui s’allongent
Pour les amoureux qui songes
Et la rentrée d’automne
Et ces teintes ocre et jaune
Pour tous les écoliers
Qui rentre par millier
Mais avec le froid revenu
Et ces flocons chenus
Le paysage d’hiver
Que la neige a recouvert.
Alors nous recommencerons
Le cycle des saisons
Oyé oyé braves gens
Laissés passer les ans
WøLø
30/12/2012
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Re: Poèmes de Willyloge
necro Sam 5 Jan - 18:55
Ton poème est proche de certaines fugues de Bach pour moi, qui diffusent un espoir et une énergie intenses en même temps qu'un sentiment profond de résignation face à l'inéluctabilité de l'existence et des choses...willyloge a écrit:Ouvrez un topic et je vous promets de l'alimenter
Tu nous promets d'alimenter un topic ouvert par toi ? Ou ouvert par un autre ?
Qu'a motivé ta publication de ce poème ?
"Une passion des plus acides" nous anime souvent, avec son intime contradiction, dans notre quête à la fois de solitude et de partage avec l'autre... C'est à peu près ce qui motive mon post, ainsi que mon, mes interrogations.
necro- Gens de passage
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Re: Poèmes de Willyloge
willyloge Lun 7 Jan - 18:51
necro a écrit:Ton poème est proche de certaines fugues de Bach pour moi, qui diffusent un espoir et une énergie intenses en même temps qu'un sentiment profond de résignation face à l'inéluctabilité de l'existence et des choses...willyloge a écrit:Ouvrez un topic et je vous promets de l'alimenter
Tu nous promets d'alimenter un topic ouvert par toi ? Ou ouvert par un autre ?
Qu'a motivé ta publication de ce poème ?
"Une passion des plus acides" nous anime souvent, avec son intime contradiction, dans notre quête à la fois de solitude et de partage avec l'autre... C'est à peu près ce qui motive mon post, ainsi que mon, mes interrogations.
Tu as raison dans un certain sens j'écris souvent en écoutant de la musique ,là c'était du Chopin mais cela peut être de la musique contemporaine comme le groupe MUSE ou des musique de Films.
Pourquoi un Topic je ne sais vraiment, l'envie de partager mes moments doux acides comme tu le dis si bien.
Rompre une certaine solitude. Donner des ailes à tes textes enfermés dans le disque dur d'un ordi
Une certaine envie de m'exprimer et part de la vivre.
Des écris j'en ai plein et j'en compose presque tous les jours. je n'ai que cela à faire d'une certaine façon, c'est un peu des bouée auquel je m'accroche ou des bouteille jetés à la mer avec le secret espoir que quelqu'un les ramassera. Mais pour faire quoi ?
L'inutilité de l'acte dans ce qu'il a de plus primaire.
Alors est ce que je vais continuer ou m’arrêter, nul ne le sais. Een tout cas pas moi. Peut-être vous avez la réponse ?
willyloge- Poète
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]Quand les hommes
willyloge Lun 7 Jan - 19:01
Quand les hommes
Inspiré d’une chanson de Robert Charlebois
Chanté par de Gilles Vigneault.
Quand les hommes vivront d’amour
Que les religions ne nous feront plus de misère
Les prêtres et les imams seront troubadours
Ils se reconnaîtront pour frères.
Quand les hommes vivront d’amour
Et qu’il ni aura plus de guerre,
Que nous serons en paix pour toujours
Que nous aurons mis les armes à terres.
Quand les hommes vivront d’amour
Qu’ils en deviennent les missionnaires
Dans leurs gestes et leurs discours
Comme seul et unique prière.
Quand les hommes vivront d’amour
Qu’ils seront tous solidaire,
Avec tous ceux qui les entoures
Par-delà les terres et les mers
Quand les hommes vivront d’amour
Que cela ne soit plus un mystère
Aussi simple que de dire bonjour
Aussi vital que de l’air.
Quand les hommes vivront d’amour
Nous rentrerons dans une nouvelle ère
Avec comme acte de bravoure
Que celui de devenir père.
WøLø
05/01/2013
[center]
Inspiré d’une chanson de Robert Charlebois
Chanté par de Gilles Vigneault.
Quand les hommes vivront d’amour
Que les religions ne nous feront plus de misère
Les prêtres et les imams seront troubadours
Ils se reconnaîtront pour frères.
Quand les hommes vivront d’amour
Et qu’il ni aura plus de guerre,
Que nous serons en paix pour toujours
Que nous aurons mis les armes à terres.
Quand les hommes vivront d’amour
Qu’ils en deviennent les missionnaires
Dans leurs gestes et leurs discours
Comme seul et unique prière.
Quand les hommes vivront d’amour
Qu’ils seront tous solidaire,
Avec tous ceux qui les entoures
Par-delà les terres et les mers
Quand les hommes vivront d’amour
Que cela ne soit plus un mystère
Aussi simple que de dire bonjour
Aussi vital que de l’air.
Quand les hommes vivront d’amour
Nous rentrerons dans une nouvelle ère
Avec comme acte de bravoure
Que celui de devenir père.
WøLø
05/01/2013
[center]
Dernière édition par willyloge le Lun 7 Jan - 22:40, édité 1 fois
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Re: Poèmes de Willyloge
Loli Lun 7 Jan - 22:20
C'est un beau message d'espoir.
Par contre, juste un truc....et si tu enlevais tous les ET en début de phrase?
Je trouve que c'est un peu trop répétitif .... j'ai essayé de lire en enlevant, c'est pas mal finalement.. qu'en penses-tu ?
Par contre, juste un truc....et si tu enlevais tous les ET en début de phrase?
Je trouve que c'est un peu trop répétitif .... j'ai essayé de lire en enlevant, c'est pas mal finalement.. qu'en penses-tu ?
Loli- Utopiste
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Re: Poèmes de Willyloge
willyloge Lun 7 Jan - 22:42
[quote="Loli"]C'est un beau message d'espoir.
Par contre, juste un truc....et si tu enlevais tous les ET en début de phrase?
Je trouve que c'est un peu trop répétitif .... j'ai essayé de lire en enlevant, c'est pas mal finalement.. qu'en penses-tu ? [/quote Tu as entièrement raison , cela allège l'ensemble. Je l'ai corrigé MERCI
Par contre, juste un truc....et si tu enlevais tous les ET en début de phrase?
Je trouve que c'est un peu trop répétitif .... j'ai essayé de lire en enlevant, c'est pas mal finalement.. qu'en penses-tu ?
[/quote Tu as entièrement raison , cela allège l'ensemble. Je l'ai corrigé MERCI
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JOURNAL INTIME
willyloge Dim 13 Jan - 13:35
Journal Intime
Commencer la nouvelle l’année
Comme on le ferait avec un cahier
Annoter d’une belle écriture réalisée
De plein et de délié.
Un cahier qui sent bon le neuf
Au page légèrement damassé.
D’un simple carnet à spirale
À un journal intime cadenassé.
Témoins de notre état et morale
Confident fidèle et silencieux
A la teinte douce camaïeu
De nos plus exquis secrets,
Et de nos rêves inavoués.
Carnet de notre enfance,
Qui se flétrit aussi vite que le temps.
Chaque page est délivrance
De nos souvenirs d’antan.
Délicatement écrit à la plume
Trempé à l’encre d’écume
Ou d’un simple stylo
D’un anonyme bureau
Chaque jour je consigne
Les mots que j’aligne
Comme les petits soldats de plomb
Dans leurs pantalons vermillon
D’une parade imaginaire,
Et quand arrive la fin de l’année
Tourne la page de notre imaginaire.
Nous voilà avec un nouveau cahier,
À remplir de plein et de délié.
WøLø
12/01/2013
Commencer la nouvelle l’année
Comme on le ferait avec un cahier
Annoter d’une belle écriture réalisée
De plein et de délié.
Un cahier qui sent bon le neuf
Au page légèrement damassé.
D’un simple carnet à spirale
À un journal intime cadenassé.
Témoins de notre état et morale
Confident fidèle et silencieux
A la teinte douce camaïeu
De nos plus exquis secrets,
Et de nos rêves inavoués.
Carnet de notre enfance,
Qui se flétrit aussi vite que le temps.
Chaque page est délivrance
De nos souvenirs d’antan.
Délicatement écrit à la plume
Trempé à l’encre d’écume
Ou d’un simple stylo
D’un anonyme bureau
Chaque jour je consigne
Les mots que j’aligne
Comme les petits soldats de plomb
Dans leurs pantalons vermillon
D’une parade imaginaire,
Et quand arrive la fin de l’année
Tourne la page de notre imaginaire.
Nous voilà avec un nouveau cahier,
À remplir de plein et de délié.
WøLø
12/01/2013
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poème DECHIRURE
willyloge Ven 18 Jan - 18:48
DECHIRURE
Cruelle déchirure
De te voir partir
Bien avant ton tour.
Finis le futur
De pouvoir retenir
Le fruit de mon amour.
Terrible Déchirure
Qui nous pourfend notre armure
Laissant notre cœur palpitant
À nue désarmé et sanglant
Éternelle déchirure
D’une si grande douleur
De perdre son enfant,
C‘est une plaie qui suppure
Empreinte indélébile du malheur
Même avec le temps
Terrifiante déchirure
Qui me brise le cœur
Et que rien ne délivre.
Impuissante morsure
Ne laissant que la stupeur
À nous pour survivre.
Mortelle déchirure
D’un ciel trop cruel
De l’enfant qu’on perd.
Funeste mesure
Déchirant crie paternel
Prédisant son calvaire
Ultime déchirure
Nous laissant l’âme vide
De toutes nos passions.
Et comme impavide
D’une fin en une sépulture
Comme simple aspiration.
WøLø
15/01/2013
Cruelle déchirure
De te voir partir
Bien avant ton tour.
Finis le futur
De pouvoir retenir
Le fruit de mon amour.
Terrible Déchirure
Qui nous pourfend notre armure
Laissant notre cœur palpitant
À nue désarmé et sanglant
Éternelle déchirure
D’une si grande douleur
De perdre son enfant,
C‘est une plaie qui suppure
Empreinte indélébile du malheur
Même avec le temps
Terrifiante déchirure
Qui me brise le cœur
Et que rien ne délivre.
Impuissante morsure
Ne laissant que la stupeur
À nous pour survivre.
Mortelle déchirure
D’un ciel trop cruel
De l’enfant qu’on perd.
Funeste mesure
Déchirant crie paternel
Prédisant son calvaire
Ultime déchirure
Nous laissant l’âme vide
De toutes nos passions.
Et comme impavide
D’une fin en une sépulture
Comme simple aspiration.
WøLø
15/01/2013
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Poème NOSTALGIE
willyloge Sam 26 Jan - 16:54
NOSTALGIE
Nostalgie d’un temps passé
Qui nous laisse un gout de regret
Retenir le court du temps
Ou nous étions que des enfants
Baignant dans une douce insouciance
Et une belle assurance.
Nostalgie de ces instants éphémères
Ou nous étions les maitres sur terre.
Suaves moments sucrés
Aux parfums surannés.
Nostalgie d’un premier amour
Qui avait le gout de toujours.
Le temps en nous laissant des traces
De nos plaisirs bien trop fugaces.
Toutes ces années passées
À regarder le sablier s’écouler.
Nostalgie de tes lèvres sur ma bouche
Quand je t’enlaçais sur ta couche.
De la dolence de nos corps
Bien après la levée de l’aurore.
Jouir de la douce évanescence
Des prémisses de notre adolescence.
Nostalgie de ce que nous avons été
En soupirant sur sa brièveté.
WøLø
14/01/2013
Nostalgie d’un temps passé
Qui nous laisse un gout de regret
Retenir le court du temps
Ou nous étions que des enfants
Baignant dans une douce insouciance
Et une belle assurance.
Nostalgie de ces instants éphémères
Ou nous étions les maitres sur terre.
Suaves moments sucrés
Aux parfums surannés.
Nostalgie d’un premier amour
Qui avait le gout de toujours.
Le temps en nous laissant des traces
De nos plaisirs bien trop fugaces.
Toutes ces années passées
À regarder le sablier s’écouler.
Nostalgie de tes lèvres sur ma bouche
Quand je t’enlaçais sur ta couche.
De la dolence de nos corps
Bien après la levée de l’aurore.
Jouir de la douce évanescence
Des prémisses de notre adolescence.
Nostalgie de ce que nous avons été
En soupirant sur sa brièveté.
WøLø
14/01/2013
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Re: Poèmes de Willyloge
willyloge Dim 3 Fév - 11:08
que ce soit un amour d'hier, d'aujourd-hui ou de demain, il nous en restera toujours une nostalgie au fond du coeur.Loli a écrit:Très joli.
C'est un amour d'enfance ?
et c'est ce qui en fait des moment unique et savoureux qu'on aime revenir déguster comme des sucrerie d'antan.
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DORS ma DOUCE
willyloge Ven 22 Fév - 21:11
DORS
Dors ma tendre et douce,
Encadré de ta chevelure rousse.
Je t’allongerai sur ta couche,
En déposant un baiser sur ta bouche.
Laisse-moi te prendre dans mes bras,
Et te dire des mots d’amour tout bas.
Dans une étreinte passionnée
Je t’emporterai toi ma dulcinée
Dans un pays de rêve sucré
Ou seuls les amants sont tolérés.
Dors après nos joutes enflammées,
D’où nous ressortirons épuisés
D’une si ardente volupté.
Dans cet appel continu des sens,
Éclosion qui nous laissera en transe,
En des poses sensuelles et lascives,
Dans l’endormissement d’âme passive.
Dors après nos érotiques danses,
D’où d’un geste souple tu t’élances.
Pour une chorégraphie endiablée
De séduction des plus osés.
A bien des égards
Pour mon seul regard.
Endors-toi mon ange
Sans plus que je te dérange
Dors d’un sommeil plein de rêves
Ou nous redevenons Adam et Ève.
WøLø
01/02/2013
Dors ma tendre et douce,
Encadré de ta chevelure rousse.
Je t’allongerai sur ta couche,
En déposant un baiser sur ta bouche.
Laisse-moi te prendre dans mes bras,
Et te dire des mots d’amour tout bas.
Dans une étreinte passionnée
Je t’emporterai toi ma dulcinée
Dans un pays de rêve sucré
Ou seuls les amants sont tolérés.
Dors après nos joutes enflammées,
D’où nous ressortirons épuisés
D’une si ardente volupté.
Dans cet appel continu des sens,
Éclosion qui nous laissera en transe,
En des poses sensuelles et lascives,
Dans l’endormissement d’âme passive.
Dors après nos érotiques danses,
D’où d’un geste souple tu t’élances.
Pour une chorégraphie endiablée
De séduction des plus osés.
A bien des égards
Pour mon seul regard.
Endors-toi mon ange
Sans plus que je te dérange
Dors d’un sommeil plein de rêves
Ou nous redevenons Adam et Ève.
WøLø
01/02/2013
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Re: Poèmes de Willyloge
Utopia Dim 10 Mar - 17:27
(willyloge, je déplace ton poème ici)
Amitié Perdue
Les amitiés vont et viennent
Telles les feuilles d’un arbre.
Elles voltigent dans le ciel glabre,
Partis d’un archet de musicienne
Laissant s’envoler ses notes
Au vent salé d’un soir d’été.
Rien pourtant ne leurs ôtes
Leurs douces mélopées.
Elles laissent encore une empreinte
D’un trop éphémère amour
Comme une lune mal éteinte
Dans la naissance du jour.
Cicatrices bien trop cruelles
Désillusion du cœur et de l’âme
D’une souffrance mutuelle
Qui nous pourfend comme une lame.
Pas de sang ni de pleurs
Ni gagnant ni perdant
Rien que de la douleur
D’avoir perdu l’ami d’antan.
Nous retrouverons nous
Aux détours d’un chemin
Pour une partition que l’on rejoue
D’une mélodie à quatre mains.
Indifférence et habitude sont les prémices
D’un élan à jamais tut
Et que le sort nous prémunisse
D’être victime d’une amitié perdue
WøLø
03/03/3013
Les amitiés vont et viennent
Telles les feuilles d’un arbre.
Elles voltigent dans le ciel glabre,
Partis d’un archet de musicienne
Laissant s’envoler ses notes
Au vent salé d’un soir d’été.
Rien pourtant ne leurs ôtes
Leurs douces mélopées.
Elles laissent encore une empreinte
D’un trop éphémère amour
Comme une lune mal éteinte
Dans la naissance du jour.
Cicatrices bien trop cruelles
Désillusion du cœur et de l’âme
D’une souffrance mutuelle
Qui nous pourfend comme une lame.
Pas de sang ni de pleurs
Ni gagnant ni perdant
Rien que de la douleur
D’avoir perdu l’ami d’antan.
Nous retrouverons nous
Aux détours d’un chemin
Pour une partition que l’on rejoue
D’une mélodie à quatre mains.
Indifférence et habitude sont les prémices
D’un élan à jamais tut
Et que le sort nous prémunisse
D’être victime d’une amitié perdue
WøLø
03/03/3013
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C’est le printemps.
willyloge Ven 22 Mar - 13:41
C’est le printemps.
C’est après le long sommeil de l’hiver.
C’est le réveil de la nature qui s’émerveille
C’est aussi la promesse d’un nouvel été.
C’est la Lumière qui rejaillit dans le ciel.
C’est le chanteur qui se remet à recomposer.
C’est la vie qui revient à nouveau,
C’est l’enthousiasme qui nous à inondé,
C’est le maçon qui ré attaque ses travaux.
C’est le poète qui se retrouve inspiré,
C’est le peintre qui ressort ses pinceaux.
C’est le musicien qui reprend son instrument.
C’est le facteur qui refait sa tournée en vélo.
C’est le paysan qui sème sont champ,
C’est les lettres pleines de vœux qui s’envolent.
C’est le temps des belles promesses.
C’est l’Amour qui repart en goguette,
C’est la renaissance des sens.
C’est Cupidon qui affute ses flèches,
C’est l’envie d’une nouvelle existence.
C’est l’oiseau qui sort du nid.
C’est le temps des premières expériences.
C’est vouloir repartir à zéro.
C’est croire au lendemain qui chante.
C’est aspirer en un renouveau.
C’est faire des rencontres étonnantes.
C’est avoir des souvenirs en partage.
C’est en respectant les traditions
C’est s’autoriser à faire son apprentissage
C’est se laisser trouver de sûrs compagnons
C’est accepter de maîtriser notre mystère.
C’est aller découvrir d’éclatants horizons.
C’est enfin, pour nous les enfants de Lumière,
C’est au bout du chemin que nous saurons.
Que c’est et ce sera pour nous tous les jours le printemps.
C’est après le long sommeil de l’hiver.
C’est le réveil de la nature qui s’émerveille
C’est aussi la promesse d’un nouvel été.
C’est la Lumière qui rejaillit dans le ciel.
C’est le chanteur qui se remet à recomposer.
C’est la vie qui revient à nouveau,
C’est l’enthousiasme qui nous à inondé,
C’est le maçon qui ré attaque ses travaux.
C’est le poète qui se retrouve inspiré,
C’est le peintre qui ressort ses pinceaux.
C’est le musicien qui reprend son instrument.
C’est le facteur qui refait sa tournée en vélo.
C’est le paysan qui sème sont champ,
C’est les lettres pleines de vœux qui s’envolent.
C’est le temps des belles promesses.
C’est l’Amour qui repart en goguette,
C’est la renaissance des sens.
C’est Cupidon qui affute ses flèches,
C’est l’envie d’une nouvelle existence.
C’est l’oiseau qui sort du nid.
C’est le temps des premières expériences.
C’est vouloir repartir à zéro.
C’est croire au lendemain qui chante.
C’est aspirer en un renouveau.
C’est faire des rencontres étonnantes.
C’est avoir des souvenirs en partage.
C’est en respectant les traditions
C’est s’autoriser à faire son apprentissage
C’est se laisser trouver de sûrs compagnons
C’est accepter de maîtriser notre mystère.
C’est aller découvrir d’éclatants horizons.
C’est enfin, pour nous les enfants de Lumière,
C’est au bout du chemin que nous saurons.
Que c’est et ce sera pour nous tous les jours le printemps.
willyloge- Poète
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